Recherche par auteur : Duras, Marguerite
15 résultats.
Lu par : Manon
Durée : 11min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 28570
Résumé:Dans cet album initialement publié dans les années 1970, un petit garçon, Ernesto, refuse d'aller à l'école.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 5h. 10min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18289
Résumé:Les vrais enfants sont ceux qui ont passé leur enfance dans les arbres à dénicher des nids, et perdu leur vie. Les mères, en effet, préfèrent aux autres ces éternels enfants là. Et l'amour qu'elles leur portent, non seulement survit, mais s'enfle de leur vieillesse, de la déchéance de leur raison, de la magnificence toujours plus grande de leur immoralité. Tel est le sujet des journées entières dans les arbres.
Lu par : Marie-Thérèse Hayoz
Durée : 2h. 15min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 6723
Résumé:Il y a quelque chose d'impudique à parler de l'écriture pour quiconque y a consacré sa vie. C'est donc avec une certaine douleur que Duras nous livre ses impressions sur l'écriture, se livrant toute entière dans ce petit livre. L'écrivain fait un pas quand il prend la plume, mais c'est un autre obstacle qu'il franchit lorsqu'il livre son oeuvre en pâture - à un ami, un parent, un éditeur... Alors parler de son rapport à l'écriture, dévoiler les lieux de l'écrit, les malaises de l'écrivain...
Lu par : Agnès Baron
Durée : 2h. 46min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 30124
Résumé:Lui : Tu n'as rien vu à Hiroshima. Rien. Elle : J'ai tout vu. Tout... Ainsi l'hôpital je l'ai vu. J'en suis sûre. L'hôpital existe à Hiroshima. Comment aurais-je pu éviter de le voir ? Lui : Tu n'as pas vu d'hôpital à Hiroshima. Tu n'as rien vu à Hiroshima...Elle : Je n'ai rien inventé. Lui : Tu as tout inventé. Elle : Rien. De même que dans l'amour cette illusion existe, cette illusion de pouvoir ne jamais oublier, de même j'ai eu l'illusion devant Hiroshima que jamais je n'oublierai. De même que dans l'amour.
Lu par : Marguerite Delacrétaz
Durée : 3h. 28min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 2811
Résumé:Roman autobiographique mis en image par Jean-Jacques Annaud, "L'amant" est l'un des récits d'initiation amoureuse parmi les plus troublants qui soit. Dans une langue pure comme son sourire de jeune fille, Marguerite Duras confie sa rencontre et sa relation avec un rentier chinois de Saigon. Dans l'Indochine coloniale de l'entre deux-guerres, la relation amoureuse entre cette jeune bachelière et cet homme déjà mûr est sublimée par un environnement extraordinaire. Dès leur rencontre sur le bac qui traverse le Mékong, on ressent l'attirance physique et la relation passionnée qui s'ensuivra, à la fois rapide comme le mouvement permanent propre au sud de l'Asie et lente comme les eaux d'un fleuve de désir. Histoire d'amour aussi improbable que magnifique, L'amant est une peinture des sentiments amoureux, ces pages sont remplies d'un amour pur et entier.
Lu par : François-Xavier Deschenaux
Durée : 4h. 58min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12857
Résumé:Marguerite Duras confie sa rencontre et sa relation avec un rentier chinois de Saigon. Dans l'Indochine coloniale de l'entre deux-guerres, la relation amoureuse entre cette jeune bachelière et cet homme déjà mûr est sublimée par un environnement extraordinaire. Dès leur rencontre sur le bac qui traverse le Mékong, on ressent l'attirance physique et la relation passionnée qui s'ensuivra, à la fois rapide comme le mouvement permanent propre au sud de l'Asie et lente comme les eaux d'un fleuve de désir.
Lu par : Jean Frisch
Durée : 2h. 25min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 8114
Résumé:Un homme de 78 ans achète pour sa fille Valérie, 17 ans, une maison qui domine la mer, entourée de forêt. L'histoire, distillée, très lente et très subtile, d'une attente au cours de laquelle le vieillard apprendra de la bouche d'une femme que la blondeur de "l'enfant" a fait des ravages dans le coeur de son conjoint.
Lu par : Louis Belon
Durée : 5h. 31min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 28122
Résumé:C'est un texte composite, dont le noyau est « La douleur », les cahiers que Duras écrivit pendant qu'elle attendait, espérait le retour de Robert Antelme, déporté. Autour de ce texte à tonalité très autobiographique, il y a cinq autres qui prennent plus ou moins de distance avec le biographique (« L'ortie brisée » est introduite par « C'est inventé. C'est de la littérature. » Ce même « C'est inventé » introduit également « Aurelia Paris », une des variations sur le personnage d'Aurélia.)
Lu par : Hélène Mossler-Lenot
Durée : 3h. 37min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 26664
Résumé:Entre 1987 et 1989, après le succès foudroyant de L'Amant qui fait d'elle un écrivain mondialement reconnu, Marguerite Duras se confie en toute liberté à une jeune journaliste italienne sur sa vie, son oeuvre, son obscurité, puis sa gloire, la politique, la passion. Ce dialogue publié une seule fois en langue italienne avait disparu, ignoré des admirateurs de Duras qui vont ici réentendre sa voix.
Lu par : Anne Fruchon
Durée : 4h. 16min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 71559
Résumé:Vitry, banlieue tentaculaire, immense, vidée de tout ce qui fait une ville, réservoir plutôt avec, çà et là, des îlots secrets où l’on survit. C’est là que Marguerite Duras a tourné son film Les Enfants : « Pendant quelques années, le film est resté pour moi la seule narration possible de l’histoire. Mais souvent je pensais à ces gens, ces personnes que j’avais abandonnées. Et un jour j’ai écrit sur eux à partir des lieux du tournage de Vitry. »C’est une famille d’immigrés, le père vient d’Italie, la mère, du Caucase peut-être, les enfants sont tous nés à Vitry. Les parents les regardent vivre, dans l’effroi et l’amour. Il y a Ernesto qui ne veut plus aller à l’école « parce qu’on y apprend des choses que je ne sais pas », Jeanne, sa sœur follement aimée, les brothers et les sisters. Autour d’eux, la société et tout ce qui la fait tenir : Dieu, l’éducation, la famille, la culture... autant de principes et de certitudes que cet enfant et sa famille mettent en pièces avec gaieté, dans la violence.
Lu par : Isabelle Chabanel
Durée : 11h. 50min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20709
Résumé:Un homme qui veut changer sa vie s'engage sur un bateau. Sur ce bateau il y a une femme qui court le monde à la recherche du marin de Gibraltar qu'elle a aimé et qui a disparu. L'amour naît entre l'homme qui veut changer sa vie et la femme qui cherche le marin de Gibraltar. Ensemble, ils vont rechercher avec scrupule ce marin disparu. S'ils le trouvent ce sera la fin de leur amour. Étrange contradiction. De Sète à Tanger, de Tanger à Abidjan, et d'Abidjan à Léopoldville, leur recherche se poursuit.
Lu par : Philippe Lion
Durée : 2h. 14min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 22665
Résumé:« C'étaient des bonnes à tout faire, les milliers de Bretonnes qui débarquaient dans les gares de Paris. C'étaient aussi les colporteurs des petits marchés de campagne, les vendeurs de fils et d'aiguilles, et tous les autres. Ceux - des millions - qui n'avaient rien qu'une identité de mort. Le seul souci de ces gens c'était leur survie : ne pas mourir de faim, essayer chaque soir de dormir sous un toit. C'était aussi de temps en temps, au hasard d'une rencontre, PARLER. Parler du malheur qui leur était commun et de leurs difficultés personnelles. Cela se trouvait arriver dans les squares, l'été, dans les trains, dans ces cafés des places de marché pleins de monde où il y a toujours de la musique. Sans quoi, disaient ces gens, ils n'auraient pas pu survivre à leur solitude. » Marguerite Duras.
Lu par : Simone Bosko
Durée : 6h. 23min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 7342
Résumé:Maud ouvrit la fenêtre et la rumeur de la vallée emplit la chambre. Le soleil se couchait. Il laissait à sa suite de gros nuages qui s'aggloméraient et se précipitaient comme aveuglés vers un gouffre de clarté. Le "septième" où ils logeaient semblait être à une hauteur vertigineuse. On y découvrait un paysage sonore et profond qui se prolongeait jusqu'à la traînée sombre des collines de Sèvres. Entre cet horizon lointain, bourré d'usines, de faubourgs et l'appartement ouvert en plein ciel, l'air chargé d'une fine brume ressemblait, glauque et dense, à de l'eau. Maud resta un moment à la fenêtre, les bras étendus sur la rampe du balcon, la tête penchée dans une attitude semblable à celle d'un enfant oisif. Mais son visage était pâle et meurtri par l'ennui. Lorsqu'elle se retourna vers la chambre et qu'elle ferma la fenêtre le bruissement de la vallée cessa brusquement comme si elle avait fermé les vannes d'une rivière.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 3h. 3min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14488
Résumé:Dans une ville de province, Anne Desbaresdes est une jeune femme mariée, riche, désoeuvrée, dont l'unique centre d'intérêt semble être son fils. En effet, elle l'accompagne chaque semaine chez son professeur de piano qui tente désespérément d'imposer gammes et autres notions théoriques à l'enfant. Ce jour-ci l'enfant obstiné prend une leçon de piano car comme d'habitude sa mère aimante le veut, lui non. Il rêve et écoute tous les signes de la vie tranquille qui lui parviennent de la fenêtre ouverte sur les quais. C'est alors que lors de cette séance de torture, soudain, un cri vient déchirer l'équilibre fragile et tous trois perçoivent un tumulte qui vient d'un café proche. Un meurtre a été commis. Une jeune femme vient de s'y faire assassiner par son amant. Anne Desbaresdes se rendra dans ce bar, jour après jour, inexplicablement attirée par ce drame. Elle y rencontrera Chauvin. Ils boiront beaucoup de vin ensemble et reviendront encore et encore sur le meurtre. Ils tenteront de déchiffrer l'énigme qui entoure le meurtre tragique du café. Ces ceux adultes, un homme, ancien ouvrier et une mère, aimante et surtout femme qui s'ennuie, tous deux de conditions sociales différentes. Ils se retrouvent pour en parler, s'épient, révélant sous la retenue de ce récit d'apparence classique une tension qui va croissant dans le silence jusqu'au paroxysme final. Ils vont découvrir en eux-mêmes une passion naissante et progressante à mesure que leurs rendez-vous se succéderont. C'est alors qu'ils seront entrainés à vivre l'hypothèse avancée par Chauvin pour expliquer le crime qui devient le couronnement de la passion et du désir au lieu d'en être la destruction. Dans leur dernière rencontre, Anne, comme l'assassinée, découvre en elle ce désir d'être tuée par un amant qui en venait à désirer sa mort pour finalement Ils se quitteront définitivement
Lu par : Francine Cahen-Fouque
Durée : 9h. 22min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 28002
Résumé:D'une facture romanesque relativement classique, l'ancrage des personnages de ce roman dans le réel préfigure cependant cette "écriture de l'indicible" qui marquera plus tard la singularité de l'écrivain. "Un barrage contre le Pacifique" inaugure une série de romans d'inspiration autobiographique ayant pour cadre le Vietnam. Le récit s'articule autour du personnage de la mère, une femme qui, dans sa lutte contre la misère, brave à s'en rendre folle les obstacles infranchissables qui se présentent à elle. À l'image du titre, les ambitions, aussi nobles soient-elles, ne peuvent être que démesurées et toute tentative s'avère inéluctablement vouée à l'échec. Lorsque tout finit par être rongé, sali, violé, c'est aller au-delà de la souffrance, au-delà du pathétique. Car la douleur est sans fond, la perte est définitive, aucune trace de compassion dans ce roman de l'irrémédiable.